Native du plateau Mont-Royal à Montréal, je suis entourée par un foisonnement de lieux culturels, galeries d’art, salles de spectacles, activités artistiques. Dès mon enfance, je voisine une marraine couturière qui dessine et un parrain chapelier, ils seront à la source de mon besoin de créer. Je vais à la bibliothèque de Montréal suivre mes premiers ateliers d’art plastique avant même de savoir lire. Je suis initiée par une tante à des visites commentées au Musée des beaux-arts de Montréal. Elle me montrera le Riopelle qu’elle a acquis, accroché au mur de son vestibule dans son appartement rue Sherbrooke en face du Ritz. Moi ce qui m’intrigue sera plutôt la salle surchauffée de l’art africain du Musée des beaux-arts de Montréal. Tout au long de ma vie, je continue les visites des musées pour y observer les œuvres des grands maitres de l’art, ces lieux ont sur moi un grand impact.
Lors d’une visite à une exposition au Musée d’art contemporain de Montréal, je trouve dans un meuble à tiroirs quelques gouaches du célèbre peintre Québécois Paul-Émile Borduas. Je réalise tout le travail d’une vie pour atteindre un tel potentiel plastique. Une anecdote vient corroborer mes choix plus tard. Un jour cette même tante m’invite à un vernissage au Musée elle me présente le peintre autodidacte de Chicoutimi Arthur Villeneuve. IL me tend la main par politesse, je ne me lave plus la main du reste de la journée. Un homme si petit, presque de ma taille de jeune adolescente. Je me rappelle combien ses peintures avaient été surprenantes pour moi, rien ne respectait les vrais dimensions, ses images étaient tellement originales et très bien réalisées. Peut-être que le hasard nous favorise et qu’on fait des choix en rapport à certains événements peu important quand on est jeune mais combien ils laissent des traces à poursuivent. C’est à cet âge que je rêve de devenir une artiste en arts visuels et c’est adulte que tout naturellement je me dirige vers cette passion.
Pendant vingt ans, je me concentre à l’enseignement des arts plastiques à des enfants du primaire et du secondaire. Je prépare ma première exposition à Rimouski puis je continue à produire pour exposer.
Formation
1987
BACC en arts plastiques, Université du Québec, Montréal
Majeure en arts d’impression, lithographie, gravure, sérigraphie
1988
Permis d’enseignement, Université du Québec, Montréal
Native du plateau Mont-Royal à Montréal, je suis entourée par un foisonnement de lieux culturels, galeries d’art, salles de spectacles, activités artistiques. Dès mon enfance, je voisine une marraine couturière qui dessine et un parrain chapelier, ils seront à la source de mon besoin de créer. Je vais à la bibliothèque de Montréal suivre mes premiers ateliers d’art plastique avant même de savoir lire. Je suis initiée par une tante à des visites commentées au Musée des beaux-arts de Montréal. Elle me montrera le Riopelle qu’elle a acquis, accroché au mur de son vestibule dans son appartement rue Sherbrooke en face du Ritz. Moi ce qui m’intrigue sera plutôt la salle surchauffée de l’art africain du Musée des beaux-arts de Montréal. Tout au long de ma vie, je continue les visites des musées pour y observer les œuvres des grands maitres de l’art, ces lieux ont sur moi un grand impact.
Lors d’une visite à une exposition au Musée d’art contemporain de Montréal, je trouve dans un meuble à tiroirs quelques gouaches du célèbre peintre Québécois Paul-Émile Borduas. Je réalise tout le travail d’une vie pour atteindre un tel potentiel plastique. Une anecdote vient corroborer mes choix plus tard. Un jour cette même tante m’invite à un vernissage au Musée elle me présente le peintre autodidacte de Chicoutimi Arthur Villeneuve. IL me tend la main par politesse, je ne me lave plus la main du reste de la journée. Un homme si petit, presque de ma taille de jeune adolescente. Je me rappelle combien ses peintures avaient été surprenantes pour moi, rien ne respectait les vrais dimensions, ses images étaient tellement originales et très bien réalisées. Peut-être que le hasard nous favorise et qu’on fait des choix en rapport à certains événements peu important quand on est jeune mais combien ils laissent des traces à poursuivent. C’est à cet âge que je rêve de devenir une artiste en arts visuels et c’est adulte que tout naturellement je me dirige vers cette passion.
Pendant vingt ans, je me concentre à l’enseignement des arts plastiques à des enfants du primaire et du secondaire. Je prépare ma première exposition à Rimouski puis je continue à produire pour exposer.
Formation
1987
BACC en arts plastiques, Université du Québec, Montréal
Majeure en arts d’impression, lithographie, gravure, sérigraphie
1988
Permis d’enseignement, Université du Québec, Montréal